tag:blogger.com,1999:blog-25308914339899841552024-02-08T03:15:18.273+01:00BEJAIA-Ateliers documentairesUnknownnoreply@blogger.comBlogger27125tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-672920448116531262009-05-04T21:58:00.002+01:002009-05-04T22:02:49.093+01:00Rencontre avec Habiba DjahnineEntretien réalisé par Ghania Mouffok pour <a href="http://www.babelmed.net">BebelMed</a><br /><a href="http://www.babelmed.net/Pais/M%C3%A9diterran%C3%A9e/rencontre_avec.php?c=4246&m=34&l=fr">clic ici pour l'article</a>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-13756986804372242572009-04-06T19:08:00.011+01:002009-04-06T19:25:17.856+01:00Les films du RFD à Paris<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjL1JOpOuKphakx8RU8kSOdjPlUp3lan_wBfP78xrFWlJVTXkck3o4K_rRIMIhvz7bkuRbXg3HZKF0QHJplfkEkFWqwgaSTIZiGGM0fpIBA7YocqyxhOD02d5xl_VH4DLOXXkshex2oIV-D/s1600-h/IMG_0441.JPG"><img style="margin: 0pt 10px 10px 0pt; float: left; cursor: pointer; width: 400px; height: 300px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjL1JOpOuKphakx8RU8kSOdjPlUp3lan_wBfP78xrFWlJVTXkck3o4K_rRIMIhvz7bkuRbXg3HZKF0QHJplfkEkFWqwgaSTIZiGGM0fpIBA7YocqyxhOD02d5xl_VH4DLOXXkshex2oIV-D/s400/IMG_0441.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5321646011905731074" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2RN_h65vkRLQHZD5pr-eJHLhlHbPCVX9hjJvbqSqdUFMxuqV6uKYHDmOFaUdhrFFG7XhFGn5kVgwoZHbYtwHstbOZTyQ1RzbNp8pqHw69YVqpydnX8kW79D7zU-vcLgX2fbDNgi9BmqgD/s1600-h/IMG_0443.JPG"><img style="margin: 0pt 10px 10px 0pt; float: left; cursor: pointer; width: 400px; height: 300px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2RN_h65vkRLQHZD5pr-eJHLhlHbPCVX9hjJvbqSqdUFMxuqV6uKYHDmOFaUdhrFFG7XhFGn5kVgwoZHbYtwHstbOZTyQ1RzbNp8pqHw69YVqpydnX8kW79D7zU-vcLgX2fbDNgi9BmqgD/s400/IMG_0443.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5321644153095894786" border="0" /></a><span style="font-size:78%;"><br /></span><br />Projection des films<br /><span style="font-weight: bold;">"Yaranegh"</span> de Amine Ait Ouaret<br /><span style="font-weight: bold;">"Fatah"</span> de Abdenour Ziani<br /><span style="font-weight: bold;">"Harguine Harguine"</span> de Meriem Bouakaz<br /><span style="font-weight: bold;">"C'est à Constantine" </span>de Bahia Bencheikh El-Fegoun<br /><br />au Musée du quai Branly - Paris<br />Vendredi 3 avril 2009 à 18h30<br />Projection organisée par les ateliers Varan<br />en présence des réalisateurs/trices.<br /><br /><span style="font-style: italic; font-weight: bold;">Les films sont visibles sur ce blog</span><span style="font-weight: bold;"> !</span><br /><br /><span style="font-size:78%;">© photos: Hafida Hachem</span><br /><span style="font-size:78%;"><br /></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-33288972795317659992009-03-20T11:59:00.003+01:002009-03-20T12:12:31.775+01:00RFD Presse<a href="http://www.africine.org/?menu=art&no=8448#top">Nous vous invitons à découvrir avec un clil: <span style="font-weight: bold;">L'article </span></a><br /><br /><span class="titre1"><b>Kaïna Cinéma : le maillon qui manquait à l'éveil du documentaire à Béjaia </b></span> <br />par <a href="http://www.africine.org/?menu=fiche&no=10999" class="textelien">Meriam Azizi</a><br /><br /><br />Les documentaires sont visibles sur ce blog.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-55011871833362558822009-03-17T03:41:00.003+01:002009-04-06T23:57:19.720+01:00Pas à pasLe cinéma est né avec le documentaire. "L’Arrivée du train en gare de la Ciotat" et "Sortie des usines", des frères Lumière, en sont la preuve. Le cinéma algérien, apparu bien plus tard, dans les années 50, a lui aussi pris naissance avec le documentaire. Les quelques films réalisés par les nôtres à Tunis, à partir de 1956, avec des images tournées dans les maquis de notre guerre de libération, confirment à leur tour cette origine du cinéma. Il nous faut cependant nuancer le propos et préciser que les frères Lumière avaient tout compris dès le début, puisqu’aux images documentaires ils avaient ajouté des images de fiction. C’est ainsi que dans "Sortie des usines", nous constatons que certains personnages défilent à plusieurs reprises devant la caméra.<br />Le film documentaire, outre cette origine et cette paternité confirmées, représente à nos yeux l’intelligence, le courage et la créativité dans le monde du septième art. Pour appuyer notre point de vue, nous rappellerons combien l’histoire du cinéma mondial est marquée par l’existence de films documentaires de haute valeur. Nul besoin ici d'en citer la liste. Il suffit de souligner le fait que, pour tout cinéaste de talent, la règle principale qui fait un grand film est sa proximité à la vérité, donc au documentaire. Lorsque nous parlons de vérité, nous ne faisons pas de confusion et nous nous démarquons de la mystification et de la fétichisation du "vérisme". Le cinéaste, en effet, construit et crée son film documentaire comme une œuvre artistique. Nos rares cinéastes ainsi que nos rares films dans ce genre peuvent confirmer ce fait. Nous n'évoquerons dans ce qui suit que les films produits et réalisés dans notre pays.<br />Commençons par "L’aube des damnés" (1966) d’Ahmed Rachdi, avec l’aide conséquente de René Vauthier. Ce film documentaire long métrage, que nous aimons qualifier d’éditorial, trace le chemin et dit la voie. Des images vraies et terribles, tirées des archives du monde entier, nous donnent à voir et à ressentir pendant deux heures environ combien la libération des peuples est indispensable et combien la liberté de l’homme est essentielle. Réalisée de façon classique, c’est-à-dire à la façon des frères Lumière, puisqu’Ahmed Rachedi introduit des éléments de fiction (nous reconnaissons par exemple Sid-Ahmed Agoumi à l’écran), cette œuvre nous dit comment, pas à pas, une création cinématographique peut aboutir au vrai. Le commentaire épique de Mouloud Mammeri y apporte de surcroît une dimension poétique et humaine.<br />Peu après, Ahmed Lalem avec son court-métrage, intelligemment intitulé "Elles" (1967), assure le relais pour confirmer toutes les potentialités et la richesse du film documentaire. Ce premier film d’un jeune réalisateur prend à contre-pied les discours officiels sur l’école et sur la femme et énonce, de façon prémonitoire, l'échec des politiques suivies.<br />Bien plus tard (1978) Brahim Tsaki, cinéaste poète, va nous donner ce fabuleux film en trois volets qui a pour titre générique Les enfants du vent. C’est dans le premier volet, intitulé La boite dans le désert, que Brahim, toujours en respect de la démarche et de la manière des grands documentalistes (Djamel, un enfant artiste et artisan, y interprète un rôle conçu par le réalisateur), donne la pleine mesure de son talent pour nous alerter sur le risque de perdre nos enfants, aussi sensibles et intelligents soient-ils.<br />C’est enfin Azzedine Meddour, génie trop tôt disparu, qui nous comblera en nous apportant satisfaction et plaisir avec son inoubliable "Combien je vous aime". Meddour est un enfant de la grande école du film documentaire soviétique qui avait à sa tête le légendaire Michael Romm, auteur du mythique "Le fascisme ordinaire" (film documentaire de 4 heures que toute cinémathèque au monde, digne de ce nom, possède dans ses archives). En faisant appel au dramaturge et immense comédien Abdelkader Alloula, et en utilisant d'anciennes images tirées de kilomètres et kilomètres d’archives filmées qu'il avait visionnées, Meddour nous offre une leçon. Il fera la démonstration que le film documentaire nous donne la possibilité de traiter efficacement de l’histoire, de la société et de la politique avec humour et sarcasme. Il signe là une œuvre majeure qui sera, nous l’espérons, restaurée, réhabilitée et mise à la disposition de tous.<br />Terminons par Assia Djebar, cette grande dame qui fit une courte irruption dans le monde du cinéma. Elle saura dire par ses deux films, comme elle l'a fait par ses écrits, tout ce en quoi elle croit et tout ce qu’elle aime. Les titres de ses films, par leur poésie et leur majesté, portent déjà la marque de l'artiste qu'elle est : "La nouba des femmes du mont Chenoua" pour le premier, "La zerda ou les chants de l’oubli" pour le second. Ces films nous prennent par la main pour nous faire découvrir, pas à pas, le monde et la vie de populations oubliées et abandonnées, le monde des femmes aujourd’hui, celui des Algériens pendant la colonisation. Pour son second film, Assia a eu l’immense patience et la grande intelligence d'aller aux archives "Pathé" visionner, elle aussi, les kilomètres de pellicules que les cinéastes coloniaux ont filmés chez nous et qu’ils n’ont jamais osé montrer. Ces images non utilisées (cataloguées "NU" et il faut prononcer ici nus) en disent long et vrai sur tout ce qu’a subi notre peuple durant 130 ans.<br />Au terme de l'évocation de ces quelques films documentaires, qui sont ceux que nous aimons vraiment, nous sommes amenés à nous poser quelques questions, parmi lesquelles :<br />- Pourquoi si peu de films documentaires de qualité en 50 ans ?<br />- Pourquoi des sujets importants, des sujets vitaux n’ont pas été abordés par la majorité de nos cinéastes ?<br />- Pourquoi réduire l’importance d’un film dit documentaire en le comparant au film dit de fiction ?<br />Notre opinion est simple et claire. Elle découle de l’histoire du cinéma, ici et ailleurs : cet art majeur, cet art populaire, que les jeunes apprécient tant, fait peur aux gens de pouvoir et à leurs zélateurs, car il permet à l’homme de connaître et d’aimer la liberté.<br /><br />Boudjemaâ KarècheUnknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-61693768234552067572009-02-19T11:07:00.001+01:002009-02-19T11:09:43.181+01:00les RFD 2008/2009<span style="font-weight: bold;">Blog de Damien Ounouri</span><br />Bonne visite -> <span style="font-weight: bold;"> </span><a style="font-weight: bold;" href="http://bejaiadocumentaryworkshop.blogspot.com">ici</a><span style="font-weight: bold;">.</span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-52456052120231853922009-02-16T16:29:00.003+01:002009-04-06T19:06:34.285+01:00doc ENTRE NOUS édition RFD 08<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dzHoA6JNMzR-kLvXSd7Ur9ymDbF_7IYjyxjabX2TByZ4_Wbw0jrZ50J6JdvshAigS-psRT5bGOYDw1yGZU_' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-32680228051264606982009-02-15T16:25:00.004+01:002009-04-06T19:06:49.881+01:00doc CONSTANTINE édition RFD 08<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dxDMwnGL0RUJtKASzMROfwSVVfQShp7d6E9uHzj2YgMBykSrcLIWRLfhHhyQACkY33UYB6mr0LHQ1J6AOP4gw' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-81443324723642513162009-02-15T15:05:00.004+01:002009-04-06T19:07:05.359+01:00doc BOYCOTT édition RFD 08<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dyTZiAXzE64uocBQYW0_gKFOniG-QGpOgMUzcBxOLj5dA2PBs90HeaWJFNLhFZCmbqb4ObmJQwpQs9Tk0AhvQ' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-9097123264608415662009-02-15T13:54:00.003+01:002009-04-06T19:07:20.359+01:00doc HARRAGA édition RFD 08<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dztBeQ1LQK3XsK0XpCN5Vudi_ygUg3ETeDHlGBFbnOCEpdfbaYOHULH0Ccz0GqzkSgnyii-oUqFRk68wPO_kw' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-33976834368078452112009-02-15T13:08:00.004+01:002009-04-06T19:07:38.151+01:00doc ELGAADA édition RFD 08<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dygXfcmcc5p5bw9f7A1m90tgpX0to3xNL5hVBV60aYcww9vajm89Rq0jQE1WHXnF_zAh11UFke31mxu6X4avw' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-1530141852148644432009-02-15T03:35:00.003+01:002009-04-06T19:07:53.355+01:00doc FATAH édition RFD 08<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dzEGaFW1t2YrSdQ4XEPtv2cssH3jZ8JTS5ngco1aLYKxdCooVwXYse_kncOniZUPU89al_xt0A9MmLDKfG2kA' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-88080157463829106222008-06-22T17:52:00.004+01:002008-08-11T19:19:27.238+01:00Appel à candidatureAteliers de réalisation de films documentaire a Béjaia (Algérie)<br />Du 15 au 29 octobre 2008.<br /><br />Appel à candidature<br /><br />Les ateliers de réalisation de films documentaires auront lieu du 15 au 29 octobre 2008 à Béjaia. Nous appelons les candidats à envoyer leur dossier du 1er juin au 15 juillet 2008.<br /><br />Le dossier est constitué de<br /><br />- Un texte de dix lignes racontant le film que le candidat souhaite réaliser.<br />- Un texte de présentation du parcours du candidat (professionnel et personnel, par exemple engagement associatif, créations artistiques…)<br />- Les candidats sont priés d’envoyer leurs dossiers par mail à l’adresse suivante : cinemaetmemoire@hotmail.fr<br /><br />Mode de sélection des stagiaires<br />Les stagiaires sont sélectionnés selon les critères suivants :<br /><br />- Avoir un projet de film documentaire de 5 à 30 minutes<br />- Décrire en 10 lignes le projet de film en question.<br />- Etre motivé et prêt à s’engager jusqu’à la réalisation finale du film<br />- Etre présent, disponible et assidu tout au long des trois phases de formation (écriture, tournage et montage) ainsi qu’aux Rencontres du Film Documentaire.<br />- Aucune expérience dans le domaine cinématographique n’est demandée comme critère de sélection.<br />- Les candidats doivent être des adultes sans limite d’âge.<br />- Accepter que les 3 phases de réalisation du film soient encadrées et suivies par les formateurs du stage.<br />- Accepter d’être accompagné d’une équipe restreinte lors du tournage.<br />- Les lieux de tournage du sujet doivent être connus du stagiaire, il est préférable que ce soit leur ville de résidence.<br />- Les stagiaires seront sélectionnés sur la base du sujet proposé ainsi que de la motivation qu’il a montrée lors de l’entretien de sélection.<br />- La confirmation de la sélection du candidat est notifiée par mail à l’issue de l’entretien de pré sélection.<br /><br />• Huit à dix candidats seront retenus pour suivre le stage.<br /><br />Les conditions d’accueil du stagiaire à Béjaia:<br /><br />- Les stagiaires seront pris en charge (nourris et logés) par les organisateurs du stage. Il leur est toutefois demandé une participation dans l’entretien et la prise en charge de certaines tâches liées à l’organisation.<br />- Les stagiaires résidents à plus de 500 km de Béjaia bénéficieront d’un remboursement de leurs frais de transport (Bus et train) (Cet avantage ne s’applique pas aux stagiaires qui vivent à l’étranger)<br />- Les frais de tournage et de montage sont partiellement pris en charge par les organisateurs<br /><br />Les phases du stage :<br /><br />Première phase :<br />Cette phase est entièrement collective.<br /><br />- Développement des sujets de chaque participant<br />- Initiation à la réalisation (image, son et montage)<br />- Exercices de réalisation de séquences.<br />- Visionnage des films et analyse filmique et sensibilisation à l’univers du documentaire<br />- Histoire du documentaire<br />- Immersion au cours des Rencontres du Film Documentaire et rencontres avec les réalisateurs au cours des leçons de cinéma et des séances publiques de projection<br />- Les stagiaires vont réaliser en guise d’exercice un sujet de 3 minutes sur le thème du portrait<br /><br />Entre la 1ère et la 2ème phase (cette phase est individuelle)<br />Chaque stagiaire est chargé de travailler au développement de son documentaire ainsi qu’à la préparation et au repérage de son film.<br />L’encadrement de cette phase se fait à distance par mail<br /><br />Deuxième phase : Janvier et février<br />Cette phase se fait en petite équipe.<br />Tournage des sujets : le tournage est préparé avec le formateur référent.<br />Une équipe légère est constituée pour accompagner le stagiaire – réalisateur lors de son tournage.<br /><br />Troisième phase : juin et juillet<br />Cette phase est individuelle.<br />Le montage des sujets est encadré par les formateurs et un monteur<br />Les stagiaires se relayent selon un programme de montage établi en concertation avec tous.<br /><br />Les films documentaires réalisés feront l’objet de diffusion lors des rencontres du film documentaire. Un DVD sera produit pour faire connaître et diffuser le travail des stagiaires.<br /><br />Les associations organisatrices<br /><br />• Association Cinéma et Mémoire de Béjaia<br />• Association franco-algérienne Kaïna Cinéma<br />• Association Etouchane de Roubaix<br /><br />Les associations partenaires<br /><br />• Les ateliers Varan à Paris<br />• Pôle Sud à Lausanne (Suisse)<br /><br />Soutenus par<br /><br />Les institutions<br /><br />• La Cinémathèque Algérienne<br />• L’ONDA<br />• Le service culturel de l’ambassade de France en Algérie<br />• Conseil Régional d’Ile-de-France<br />• Ville de Roubaix<br />. Région Nord pas de calais<br /><br />Encadrement pédagogique<br /><br />Coordination et formation : Habiba DJAHNINE (Réalisatrice et formatrice)<br />Formation : Leila HABCHI (Réalisatrice et formatrice)<br />Formation : Amina DJAHNINE (Réalisatrice et formatrice)<br />Formatrice : Hala Alabdallah (Réalisatrice et formatrice)<br /><br />Les intervenants :<br />Lors des Rencontres du Film Documentaire deux réalisateurs de documentaires seront invités à présenter leur démarche au cours d’une leçon de cinéma ouverte au public de Béjaia.Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-33966822698368558492008-06-22T17:44:00.001+01:002008-06-22T17:50:09.120+01:00Making Of Cherif<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dxUYuOx-U2gbrYTg38AEIEFs4RlSp2OflwC4CDx7sv1rUk_w0ErweMKoZVrrlmoURWCue5iUFj_3Wo4cSuY' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-62967347236370193882008-06-22T17:38:00.001+01:002008-06-22T17:44:10.233+01:00Making Of Bahia<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dwVM8ZJURcb6SegQi9C72POBjUp2hoZ8zYvm6VIsHThpyXIbBC-nuYLPsovN-uAmy0SI7WKpdwEyl-vm61aLQ' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-84249091542372591192008-06-22T17:32:00.002+01:002008-06-22T17:38:05.027+01:00Making Of Amine<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dzcARbEOA1IASQ8SpDVKCJdrmu1nFQG5xcC9dxCMH0KXeZ3M-SS-I3jJj-RpBvtU2RbQ7QLuHIZpfvAzM_7ug' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-75329130044329477612008-06-22T17:13:00.003+01:002008-06-22T17:32:17.276+01:00Les images des RFD 07<iframe allowfullscreen='allowfullscreen' webkitallowfullscreen='webkitallowfullscreen' mozallowfullscreen='mozallowfullscreen' width='320' height='266' src='https://www.blogger.com/video.g?token=AD6v5dyiF2D2SKG41nGDIZaZXyQC0E4SVbUBHQ0wVaP-0JWGoBcRb9YrsrDTQ38tob5LvHOvmh5PnlX8b6hvHUEpwg' class='b-hbp-video b-uploaded' frameborder='0'></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-43169158945549425932008-05-10T21:33:00.005+01:002008-12-11T11:20:21.714+01:00AZulations de Amine<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqa2WdS8R6Q1VuNud2EZLNIYKz-gLtOFpTVjYrtu3xxtiC8OiAzyQi9dlFTy2eXFG6uTrqyrMM78DTxCDBnnHKzUVeF5oebzbejCYO10au4QPJUtNz_pb7tvdPRx-_yAssEZPPzckU3-GR/s1600-h/DSCF0056.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqa2WdS8R6Q1VuNud2EZLNIYKz-gLtOFpTVjYrtu3xxtiC8OiAzyQi9dlFTy2eXFG6uTrqyrMM78DTxCDBnnHKzUVeF5oebzbejCYO10au4QPJUtNz_pb7tvdPRx-_yAssEZPPzckU3-GR/s320/DSCF0056.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5198851161324248946" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjl-Wpqz4Y-5xiS5KEv_v7KRMckJpDHq9FH3Xdo95RMKZRm8KzThkqJXCqsY4PPdeS__XkVihveX5RAiF2NQ8sI2h176skK-_WRpL-CMNdY5UMAN6W995AAdMSxJwLRJU8yC0JLcflgr0hk/s1600-h/DSCF0032.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjl-Wpqz4Y-5xiS5KEv_v7KRMckJpDHq9FH3Xdo95RMKZRm8KzThkqJXCqsY4PPdeS__XkVihveX5RAiF2NQ8sI2h176skK-_WRpL-CMNdY5UMAN6W995AAdMSxJwLRJU8yC0JLcflgr0hk/s320/DSCF0032.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5198851028180262754" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHK4943CWiRweePOGp-MXa85QY0rbEDfWkq-yYxTxWSGsEJP6XmMmosUDGt9H5TEQLSTlVK096bgfMoTf8DYwzhiGEeWhH3hhfK_k8bnOxTwwZM1RkpF8WuNDhtwL6wcHzuwVSHS_6lLu0/s1600-h/DSCF0034.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHK4943CWiRweePOGp-MXa85QY0rbEDfWkq-yYxTxWSGsEJP6XmMmosUDGt9H5TEQLSTlVK096bgfMoTf8DYwzhiGEeWhH3hhfK_k8bnOxTwwZM1RkpF8WuNDhtwL6wcHzuwVSHS_6lLu0/s400/DSCF0034.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5198850693172813650" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmeZg_Bz79PEiRoJD8DLWlC-_wMKYLrRLl9zzh0KkbTZP_U_LHCKGtH12xByoq279_xutDVd9nKIcVfQcw5h6aYGwdk3XYBTNpe_x0FooPPXGNfAOyNe6XVnQnYeioQ86PwMzLLJsywXRR/s1600-h/DSCF0054.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgmeZg_Bz79PEiRoJD8DLWlC-_wMKYLrRLl9zzh0KkbTZP_U_LHCKGtH12xByoq279_xutDVd9nKIcVfQcw5h6aYGwdk3XYBTNpe_x0FooPPXGNfAOyNe6XVnQnYeioQ86PwMzLLJsywXRR/s400/DSCF0054.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5198850478424448834" border="0" /></a><br /><p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >azul !!!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" > </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" > </span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >ça fait longtemps que je veux écrire a chacun des amis, sauf que y’a quelque chose qui m’empêche de le faire, va savoir ce que c’est ???</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >Je vous envois quelques photos du tournage, actuellement j’attends de vos nouvelles, j’en ai eu quelques unes sur le blog, mais c’est pas suffisant !!!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >Bref en revenant au tournage : tout c’est bien passé, avec quelque imprévu , c’était un TP plein d’enseignement(s)…et face a ce PC <span> </span>Je suis en phase de réécriture … bref ,</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" > j’ai eu Bilal comme preneur de son , chose qui m’a fait énormément plaisir , y’a du filing avec ce mec !!! puis bilal et Leila étaient a TIZI pour le tournage de Cherif, ça a bien marché !!! je ne peux donner plus !!!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >Alors et vous qu’en il de vos quotidiens !!!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >Allez a très tantôt !!!</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt;" align="center"><span style="color: rgb(0, 0, 0);font-family:Times New Roman;font-size:100%;" >Amine .</span></p>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-15969163208790896502008-04-29T20:52:00.003+01:002008-04-29T21:00:30.238+01:00Des nouvelles de vos films<span style="font-family: times new roman;">Amine a commencé son tournage à Béjaia. Billal est son preneur son. Leila Habchi les encadre. </span><br /><span style="font-family: times new roman;">Cherif va lui aussi commencer son tournage ses prochains jours.</span><br /><br /><span style="font-family: times new roman;">Durant ce mois de mai, Amina Djahnine interviendra sur les montages de Smaïl et de Malika et encadrera le tournage de Abdenour.</span><br /><br /><span style="font-family: times new roman;">Smail: du mardi 13 mai au samedi 17 mai. </span><br /><span style="font-family: times new roman;">Malika: du lundi 19 mai au vendredi 23 mai. </span><br /><br /><span style="font-family: times new roman;">Abdenour: entre le 24 et le 29 mai. (A confirmer). </span><br /> <br /><br /><span style="font-family: times new roman;"> </span>Unknownnoreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-52506540407613124282008-04-29T20:34:00.007+01:002008-12-11T11:20:22.185+01:00Texte dactylographié<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmTMELEOyvlbvpHQmgdP1YAwWdSy-O_eJlOP1C6ZHFQB5BOD62WQyOGCdO4gMsxoLRdOlhfdZPvE_su3DAQmBIRVOmx4ulH_HVvTXZpH3N4NIMkaOtxn3XOPMgcOKe-R6l11vrHMY8kRE_/s1600-h/-1.jpg"><img style="margin: 0pt 10px 10px 0pt; float: left; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhmTMELEOyvlbvpHQmgdP1YAwWdSy-O_eJlOP1C6ZHFQB5BOD62WQyOGCdO4gMsxoLRdOlhfdZPvE_su3DAQmBIRVOmx4ulH_HVvTXZpH3N4NIMkaOtxn3XOPMgcOKe-R6l11vrHMY8kRE_/s200/-1.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5194756737843673746" border="0" /></a><br /><div style="text-align: justify;"><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOYXBE6kgGS96ij3SR6Gk_cbTgVseYA6YesFJKT4lyAOUUz-hgZEZRqSHd99iYw65crezl9fnZP5H-AuXFDUFlc5rKoCcXOxRvo5tNQihIdk4QMGKWxBReL_FPs1HtzsoLMWPhC8qS3x5W/s1600-h/images.jpg"><img style="margin: 0pt 10px 10px 0pt; float: left; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhOYXBE6kgGS96ij3SR6Gk_cbTgVseYA6YesFJKT4lyAOUUz-hgZEZRqSHd99iYw65crezl9fnZP5H-AuXFDUFlc5rKoCcXOxRvo5tNQihIdk4QMGKWxBReL_FPs1HtzsoLMWPhC8qS3x5W/s200/images.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5194755200245381762" border="0" /></a><span style="font-family:trebuchet ms;"><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /></span><span style="font-size:100%;"><br /><span style="font-style: italic; font-weight: bold;font-size:85%;" >Je suis celle qui porte les fleurs sur sa tombe </span><span style="font-size:85%;">film de Hala Abdallah</span></span><br /><span style="font-family:trebuchet ms;"><br />Il ne peut y avoir de poésie, s’il n’y a pas la beauté du verbe et du style. </span> <span style="font-family:trebuchet ms;">De même, il ne peut y avoir de cinéma, s’il n’y a pas la beauté des images, des sons et de style.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Votre film est plein d’images de second degrés. Il déborde de métaphores : vos icônes ne sont pas des icônes, elles sont des images imageantes.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Le pont n’est plus un pont, c’est une image qui incite à vous accompagner, non à nous accompagner dans la PROMENADE.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Vous ne forcerez pas à regarder, sinon vous forcez le regard de façon on ne peut plus douce.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Le pont est, « normalement », une passerelle, donc un lieu ou une liaison entre deux rives, deux bords : le présent – et – le passé. Mais, au même moment vous suggérez une autre signification qui n’annule pas forcément la première : <span style="font-weight: bold;">Regarder du haut du pont vers le bas.</span></span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Le regard du présent sur le passé, est-il celui du haut vers le bas ? Que signifie le bas ?…</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Et c’est une toile d’araignée qui capte le regard. Juste le temps de donner forme à un questionnement sur son pourquoi. Et c’est ce son, cette musique d’un être vivant capté par la toile qui capte notre attention.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">« Passer de l’autre côté » du pont ? « Replonger » ? « Plonger » du haut du pont ?</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Difficulté du choix. La difficulté est « normalement » quelque chose à surmonter, à dépasser.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Vous, vous avez choisi en expression belle de la difficulté.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Il y a, peut-être, deux façons de dire le passé : </span> <span style="font-family:trebuchet ms;">- Le re-construire avec, comme souci, l’objectivité exigée par un esprit scientifique. C’est celle de l’Historien.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">- Le déterrer soigneusement, délicatement, car il ne s’agit pas du passé, d’un passé, mais de notre passé, de mon passé, et c’est la subjectivité qui l’emporte. Le souci est de ne point l’altérer, il s’agit d’une relation intime.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Quelles démarches à suivre avec ces icônes ?</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Les dépoussiérer couche après couche jusqu’à ce qu’elles deviennent « claires » comme jadis ? Ou traiter par-ci ensuite par-là pour voir ce que cela va pouvoir donner ?</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Autre expression belle d’une autre difficulté ? ou autre expression belle d’un autre stade de la même difficulté ?</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Traditionnellement, le documentaire – même s’il ne le déclare pas ouvertement cherche à privilégier l’objectivité scientifique pour se distinguer de la fiction qui, elle, se distingue en cherchant à se détacher ou se démarquer de la réalité.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Mais votre film casse - sans tapage- cette dichotomie, en ce sens que le JE de l’Artiste ne froisse guère le NOUS du scientifique.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Votre film est une invitation, non sans beaucoup de retenue, à dire non pas un passé douloureux, mais la DOULEUR car sans chercher à désigner un coupable.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Il est, ACCIDENTELLEMENT, là.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;"> « Ils » « s’est rendu » visible de lui-même.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;"> « Ils » s’est suspendu. Sans qu’il ne soit l’objet de votre quête.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">Ce qui donne de la beauté à votre ancien nouveau né, c’est aussi l’absence de toute haine.</span> <span style="font-family:trebuchet ms;">La haine est-elle soluble dans l’ART ? </span><br /></div><span style="font-family:trebuchet ms;"><br />Merci</span>.<br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-family:trebuchet ms;"><br />Hala </span> <span style="font-style: italic;font-family:trebuchet ms;" ><br /><br />Excusez cette arrogance : une œuvre d’Art, c’est quelque chose à sentir, à vivre, pas à commenter.</span><br /><span style="font-size:100%;">Moumen<br /><br /></span> </div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-20310119340379280242008-03-27T18:31:00.000+01:002008-03-27T18:32:43.346+01:002ème lettre de Bahiasahaaaa l'khawa<br />wach rakoum?????<br />bon, ici le monstre m'a tué (ktolni lwahch) wallah<br />wach dartou fiha?<br />kach tournage?<br />kach montage?<br />et toi Mr Ziani kach film? kach mra (thamtoutht)?<br />vraiment vivement nedkhoul ou ghadi nkhaltouha b lé film dyawelna<br />vive nous<br /><br />ici tout va bien, taiha ou nouda, comme on dit<br />un jour ça va, et deux pas, mais bon<br />alors j'ai vu que du beau monde depuis que je suis là : l'immense Hala, le grand Maher, et pour bientôt Jean-Luc Godard<br /><br />thallaw fi rouahkoum<br />je vous embrasse très fort<br />et à très vite<br /><br />ps: Amina, je comprends parfaitement ce que tu disais en parlant de nos sujets<br /><br />BahiaUnknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-70294263676376139962008-03-20T10:35:00.003+01:002008-12-11T11:20:22.886+01:00Associations<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5-ZrwUUfv6KP0rO2CHLw5t03I0qYwd35qUTh5X784I6mlaTUsY33KGLcpAizxNDiygXE_3rhTMQXdNxlM14Da6iWlVQoCstmdjr-4T2JnHj5enXum-U4rw4aa9dwdHLwKJLlSReFqfHcX/s1600-h/P1010511.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5-ZrwUUfv6KP0rO2CHLw5t03I0qYwd35qUTh5X784I6mlaTUsY33KGLcpAizxNDiygXE_3rhTMQXdNxlM14Da6iWlVQoCstmdjr-4T2JnHj5enXum-U4rw4aa9dwdHLwKJLlSReFqfHcX/s400/P1010511.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5179756608876721426" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6aMcEdD00CmGU9sIDTqIJ7_f_fD184PIIHhjKuJjjQFtvyiwK7FYDAi0qkaWf9iCXiRNJtVyWVNu8UHqsWitXZAbq86yO6TK08yhfJ4ISevBsNFTlTRMxVcdak7XjWs5tGEsWc1DyX8QK/s1600-h/P1010458.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj6aMcEdD00CmGU9sIDTqIJ7_f_fD184PIIHhjKuJjjQFtvyiwK7FYDAi0qkaWf9iCXiRNJtVyWVNu8UHqsWitXZAbq86yO6TK08yhfJ4ISevBsNFTlTRMxVcdak7XjWs5tGEsWc1DyX8QK/s400/P1010458.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5179756372653520130" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVds32A7CFkgiCZPn32Xniy2lJ5g3OT9a94GBR5KdVHckm2ph9usPzG0xIXxid5JiJkYTG4eLsGJ97ZhX2cD8adKZfOMfmDgBxxv53d4LDBxf5Fo7o4oxHdythRkrrohKTNKdsgPgpjiiq/s1600-h/P1010550.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVds32A7CFkgiCZPn32Xniy2lJ5g3OT9a94GBR5KdVHckm2ph9usPzG0xIXxid5JiJkYTG4eLsGJ97ZhX2cD8adKZfOMfmDgBxxv53d4LDBxf5Fo7o4oxHdythRkrrohKTNKdsgPgpjiiq/s400/P1010550.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5179755998991365362" border="0" /></a>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-49072496587078197482008-02-13T12:28:00.003+01:002008-02-13T12:35:37.674+01:00L'autre pardon<span style=";font-family:Times New Roman;font-size:100%;" ><span style="font-size:12;"><span style="font-size:85%;"><br /><span style="font-family:georgia;"> - Vous avez suivi la visite de Sarkozy en Algérie ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Oui, un peu. Comme ça. Sans plus, ya kho [mon frère]. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Vous avez quel âge ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Moi, 26 ans. Nacer, 27 ans, et Lies, 27 ans aussi.</span><br /><span style="font-family:georgia;"> Nous avons le même âge à peu près. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Qu'est-ce que vous pensez de la France qui ne veut pas demander pardon officiellement ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Moi, sincèrement rien. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Pourtant, mon grand-père maternel est mort pendant la guerre, dit Nacer. Il a été tué par l'armée française dans les maquis de Kabylie. Il y a même sa photo dans un livre d'histoire que nous gardons précieusement à la maison. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Et tu ne veux pas que la France demande pardon, alors que ton grand-père a été tué pendant la guerre ?</span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Ça va me rapporter quoi que la France demande pardon? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - C'est quand même important non ? plus d'un siècle de colonisation.</span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Oui, sûrement. Mais je m'en fous. On sait tout ça. C'est toujours la même histoire. La guerre. Le pardon. La colonisation. Y en a marre. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Ta mère ne doit pas s'en foutre, elle. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Là où elle est, je pense que si. Ma mère est morte de chagrin, en 1998. Elle n'a pas supporté la mort de mon frère. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Ton frère est mort en 1998 ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Non, en 1995. Il a été tué dans l'explosion de la bombe du boulevard Amirouche. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - C'était un policier ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Non, un chômeur. Il passait par-là seulement. Lui aussi victime de la guerre. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Une autre guerre ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Oui, mais guerre quand même. Nous avons l'âge de la guerre. Nous sommes les enfants de la guerre. Le reste, c'est de la politique. Ça nous dépasse. C'est du khorti [foutaise]. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Quel pardon aamou [tonton]? me dit Lies. On est dans notre trou et toi tu viens nous parler du pardon de la France. Moi, je n'ai pas connu cette période. Je ne connais ni la France coloniale ni la France tout court. J'ai demandé plusieurs fois le visa, mais walou [rien]. Refusé à chaque fois. Je ne suis jamais sorti d'Alger.</span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Moi, je veux que la France me demande pardon, parce qu'elle m'a refusé le visa plusieurs fois. Ça oui, dit Nacer, d'un air moqueur. En plus, je ne voulais même pas rester en France, moi je voulais aller à Londres, ya kho [mon frère]! Mais ma ketbatch [Ce n'est pas mon destin]! Une prochaine fois peut-être. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Donc, vous, le pardon officiel de la France, vous vous en moquez ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Oui. Totalement. Tu peux l'écrire, tu peux le dire même à Bouteflika de ma part. Dis-lui, Nacer, de la rue Meissonnier, s'en fout du pardon. Voilà. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Et pourquoi tu t'énerves ? On discute seulement. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - C'est quoi cette discussion, ya kho [mon frère]? Pardon de la France. Tu te moques de nous ? Dans ce cas-là, l'Algérie doit me demander pardon aussi. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Pourquoi l'Algérie ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Pour tout ce qu'elle m'a fait. Pour toutes les humiliations. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Ce n'est pas la même chose tout de même ? On parle de colonisation ici ? «Isstiimar» ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Kif kif. Pour moi, l'Algérie m'a colonisé aussi. Elle m'a humilié. Barkana [y'en a marre]. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Je vais vous dire aamou [tonton]. on est d'accord avec toi. La France doit demander pardon. Mais Nacer a raison aussi. L'Algérie aussi doit nous demander pardon. Tous ils doivent nous demander pardon. C'est vrai. La caisse de Sécurité sociale doit demander pardon. Le service des impôts doit demander pardon. Le GIA [Groupe Islamique Armé]doit demander pardon. Les démocrates doivent demander pardon. Les islamistes. Les militaires. La poste. Les chauffeurs de bus de l'ETUSA [RATP algéroise], renchérit Lies. Oui, les chauffeurs de l'ETUSA, la SNTF [SNCF algéroise]doit demander pardon, les maires doivent demander pardon, la télévision doit nous demander pardon.</span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Vous exagérerez ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - On n'exagère pas aamou [tonton]? C'est ça la vérité. Moi, la France, je m'en fous. C'est de la politique. C'est du business. Son pardon ne m'intéresse pas. Il intéresse el kiyada (les dirigeants), il intéresse les historiens peut-être mais pas moi. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Vous, c'est donc le pardon de l'Algérie que vous exigez maintenant ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Oui. Yarham echikh [pour l'amour du paternel], écris-le dans ton journal ? C'est quel journal en fait ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - La Tribune. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - La Tribune, alors écris, pas de censure, d'accord, que les jeunes de Meissonnier veulent le pardon de l'Algérie, pas de la France. dis à Bouteflika qu'on veut le pardon de tous les Premiers ministres qui sont passés depuis l'indépendance, dis-lui qu'on veut le pardon des walis, des commissaires de police, de la sécurité militaire, des juges, des procureurs.</span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Des entraîneurs de l'équipe nationale de football aussi, dit Lies. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Oui, khouya Lies, j'ai oublié les entraîneurs. Et même des joueurs. Rajoute-le. N'aie pas peur, on est avec toi. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - D'accord. Je vais l'écrire. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Ça sort quand ton article ? </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - Jeudi. </span><br /><span style="font-family:georgia;"> - D'accord, jeudi on achète le journal et on va voir ça. Mon frère, dites la vérité seulement. On veut le pardon de l'Algérie d'abord. La France, c'est une autre histoire. </span><br /><br /><span style="font-family:georgia;"> S A S</span><br /></span> </span></span><span style=";font-family:Times New Roman;font-size:85%;" ><span style="font-size:12;"> Chronique de Sid Ahmed Semiane</span></span>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-28683961041375615102008-02-05T23:37:00.000+01:002008-02-05T23:43:17.766+01:00Lettre de Bahia<div style="text-align: justify;">Salut à tous</div><div> </div>C juste pour vous dire le bonheur que j'ai eu en visitant le blog<div style="text-align: justify;"> </div>depuis mon retour je n'arrête pas de me dire que je me dois d'écrire qqs mots pour vous dire à tous ma gratitude de m'avoir remis sur les rails, ceux de moi-même, de ma vie de son vrai sens, celui d'aujourd'hui en tt cas<div style="text-align: justify;"> </div>ces mots ne sont pas uniquement des mots et même s'ils parraîssent bien grands, ils sont profondéments vrais<div style="text-align: justify;"> </div>autre chose, même si je ne vous ai pas écrit, vous êtes tous présents en moi, pas en même tps, sinon je vous dis pas le chaos intérieur, mais vous êtes bien là, en plus sur une bien belle affiche et bien accrochée sur une des portes de la maison, vous devinez laquelle.<br /><div style="text-align: justify;"> </div>je pars la semaine prochaine pour mon stage et j'espère de tt coeur que qqs films seront entamés à mon retour<div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;"> </div>je vous embrasse tous, de tt coeur et très fort<div style="text-align: justify;"> </div>merci pour le blog, je le vis comme des vitamines, quelques grammes de bonne vie.<br />BahiaUnknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-3695447017171946402008-02-03T12:56:00.000+01:002008-12-11T11:20:23.057+01:00Les projets de films<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6ZGQ_f9qcMnrBzD5r_nGi9Au7CxPNvlzUy-kqvFUOKbzPEB3vghLEQ-NjqrfqsfZLEBv1IVM4YuQBcTxArWYzlNkvUViaY7RQIef9_9yM2JdOaVV8VzKsc4puVGKUo8T6lTOfVmwmJhSD/s1600-h/P1010516.JPG"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6ZGQ_f9qcMnrBzD5r_nGi9Au7CxPNvlzUy-kqvFUOKbzPEB3vghLEQ-NjqrfqsfZLEBv1IVM4YuQBcTxArWYzlNkvUViaY7RQIef9_9yM2JdOaVV8VzKsc4puVGKUo8T6lTOfVmwmJhSD/s400/P1010516.JPG" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5162728723114961202" border="0" /></a><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-weight: bold;font-family:georgia;" >Bilan de la première phase</span></span> <span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;">La première phase du stage de réalisation de film documentaire s’est déroulée du 26 octobre au 7 novembre 2007.<br /><br /><span style="font-weight: bold;">Les résumés des projets présentés</span><br /><br />Bahia Bencheikh-Elfeggoun<br /><span style="font-style: italic;">Bahia est assistante à la réalisation c’est a première fois qu’elle passe à l’acte de réaliser un film documentaire.</span><br />Film : Sans titre pour le moment<br />Résume<br />Je suis Constantinoise, je vis à Alger depuis 7 ans. A 30 ans je retourne dans ma ville natale dans un but professionnel et m’aperçois de l‘ignorance que j’ai de Constantine ma ville, son histoire, mon histoire…<br />Le film s’articule autour d’une ville mais pas en tant que telle, il parle d’une part de la relation entre les constantinois et leur ville et d’autre part de ce que ses enfants ont fait d’elle. Il y a ceux qui la connaissent et se taisent. Il y a ceux qui l’ignorent et la quittent. Elle est une parcelle de tous. Tous l’abandonnent.Tous sont responsables. Tous sont coupables.<br />Le film montre la coupure que JE ressens, il en résulte une relation ambiguë et contradictoire faite de rejet, d’ignorance, de douleur, mais aussi d’amour.<br />Le film est une histoire d’amour, de celles qui finissent mal, avec le départ de celle qui a pu fuir : moi.<br />Aujourd’hui, je reviens sur cette triste fin, en quête de moi-même : Qui je suis? Quelles sont mes racines? Qui m’a transmis Quoi? Pourquoi ai-je si peu reçu? Quel héritage me reste-t-il? Pourquoi ai-je fuis ?<br />Le film pose deux questions essentielles : celle de LA TRANSMISSION et celle de LA RESPONSABILITE de chacun face a cette ville.<br /></span></span><div style="text-align: center;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;">Ce film, a travers mon histoire, pose le questionnement de toute une génération par rapport a ses racines et dresse un état des lieux identitaire de l'Algérie aujourd'hui. </span></span><br /></div><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"></span></span><br /><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------<br /></span></span></span><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);"></span></span>Abdenour Ziani</span><br /><span style="font-style: italic;font-size:85%;" >Abdenour est de président de l’association Cinéma et Mémoire il est acteur de la vie socio - culturelle de la ville de Béjaia.</span><br /><span style="font-size:85%;"> </span><br /><span style="font-size:85%;">Reconstituer une partie de cette mémoire a travers les témoignages de ceux qui ont fait et vécu ses évènements et qui ont payés un leurs lourd tribut pour leurs engagement.</span><br /><span style="font-size:85%;">La mémoire est ce qui nous reste quand on a tout perdu. Sa transmission devient aujourd’hui un acte de survie et de résistance. Revisiter ces évènements à travers les victimes, leur donner la parole par l’image a fin de raconter leurs espoirs et déceptions avant, pendant et après les évènements. Il s’agit aussi de les réunir devant la caméra pour évoquer nos souvenirs derrière les barricades. C’est une façon de leurs rendre hommage et les réhabiliter, et surtout de prolonger leurs combats et le perpétuer.<br /><br /></span><div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------<br /><br /></span></span></span><div style="text-align: justify;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);"></span></span>Amine Ait Aoudia<br /><span style="font-style: italic;">Amine est étudiant à l’université de Béjaia. Il a été projectionniste des rencontres cinmatographiques de Béjaia pendant 3 ans.</span><br /><br />Titre provisoire : Les enfants des associations<br /><br />Après les années de terreur qu’a vécue l’Algérie ; après les émeutes de 2001 en Kabylie, des émeutes qui ont poussé cette région dans une sorte de caverne obscure. A l’absence de sécurité se sont rajoutés les fléaux socio-économiques. En retournant dans mon village natal j'ai constaté que tout parait mis en pause, en laissant le champ libre a toute les dérives.<br />Les jeunes de cette localité ont le potentiel et l'enthousiasme de faire et de créer dans tous les domaines. Malheureusement les infrastructures et les centres de formation sont presque inexistants, s’ajoute à cela la hiérarchie archaïque laissant ces jeunes accablés. Dans ce milieu, l'association culturelle ou sportive reste le seul refuge des jeunes. Ces associations qui font dans l'activité de survie, peuvent-elles satisfaire les besoins des ces jeunes qui y adhèrent ? Comment font-elles pour exister ? Quels sont les problèmes qu'elles rencontrent ? Qu’ils rencontrent ? Ces associations, peuvent-elles satisfaire les besoins de ces jeunes qui y adhèrent ?<br />L’idée m’est venue lorsqu'un de mes cousins arrive tout excité pour annoncer sa bonne nouvelle " je viens d'adhérer a une association, ou je pourrais faire tout ce que je veux, j’ai ma place dans un groupe de musique ", "puis... c'est mieux que de passer son temps a fumer des clopes.".<br />Hamza est un jeune de 22 ans, passionné de musique, il est percussionniste en herbe, l'école primaire ne lui a pas donné la chance de continuer ses études, ce qui l'a poussé a travailler à un âge précoce d'abord comme berger, puis dans le cadre de l’emploi de jeune comme aide cuisinier, un cousin que j'appréciais pour son optimisme et dynamisme.<br />Khelaf, jeune chômeur de 25 ans, lui qui aime bien les arts de scène, il prend soin des jeune de sa troupe de danse le hip hop. C’est avec ses encourageantes initiatives qu’il permet a Salim, Djamel et les autres de continuer a rêver d'un lendemain meilleur.<br />L’association TAFOUKHT, qui loin des définitions administratives, est le cadre ou se retrouvent ces jeunes et ils essayent de l’entretenir, de s’entretenir, avec des activités diverses.<br />C’est à Semaoune que vivent ces jeunes, une commune de la wilaya de Bejaïa, géographiquement distante de 45 Km du chef lieu. Chacun dans son coin, dans les lieux qui les réunissent, au centre culturel de la commune qui était déserté par l’administration, ils ont en pris le soin de le gérer par eux même.<br />L’idée principale est de rendre hommage a ces jeunes qui ont compris que eux seuls peuvent décider du devenir de la vie commune de leur localité, qui ont compris qu’eux seuls peuvent s’offrir une bouffée d’air dans un milieu rangé par la tradition et la hiérarchie parentale.<br /><br /></span><span style="font-size:85%;"><br /></span> <div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------</span></span></span></div><br /><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;">Malika Nédir</span><br /><span style="font-size:85%;"><span style="font-style: italic;">Malika est informaticienne.</span></span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Virer de bord</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">1) Idée du film</span><br /><span style="font-size:85%;">1) Montrer toute l'absurdité de nos vies et du destin de l'humain dans nos sociétés spectaculaires marchandes.</span><br /><span style="font-size:85%;">2) Faire un film avec rien.</span><br /><span style="font-size:85%;">3) Faire un film qui dérange la passivité du spectateur.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">2) Pourquoi ce film</span><br /><span style="font-size:85%;">Ma découverte des écrits de Guy Debord dans les années 80, m’accompagne jusqu’aujourd’hui et m’a donné les clés d’une compréhension aiguisée et lucide de la société dans laquelle je vis. Je n’hésite pas à qualifier Guy Debord de « Marx des temps modernes ». La question qui me poursuit, est comment est il possible que ce visionnaire, cet authentique révolutionnaire, soit ignoré par la majorité de la population des pays dits démocratiques. Je me suis approprié ces idées et ces analyses critiques. Je veux pouvoir en transmettre la compréhension que j’en ai. Alors est née l’idée de faire un film expérimental pour diffuser une des analyses critiques de la société capitaliste la plus avancée et la plus radicale qui soit, et qui a fait ses preuves.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">3) Quels sont les personnages, les lieux de tournage</span><br /><span style="font-size:85%;">Il n’y a pas de personnages, ni de tournage. Il s’agira de prendre des images actuelles passant à la télévision et que tout le monde a vu. Une voix off raconte ces images autrement, nous renvoyant à l’absurdité de ce qu’on nous donne à voir. Nous ne croyons pas à ce qu’ « eux » nous montre, ni à ce qu’ils nous disent, mais nous voyons ce qu’ils font ou où ça nous mène. Un sous-titrage d'extraits de la société du spectacle, accompagnera tout le film.</span><br /><span style="font-size:85%;">Trois niveaux de perception dans ce documentaire. L'image, l'écoute et la lecture. Ces trois niveaux seront totalement cohérents. </span><br /><span style="font-size:85%;">- Images : Les lieux fréquentés par la population. Autoroutes, bureaux, métros, Gratte ciels, aéroports, gares, appartements, banlieux, restos, salles de spectacles, bistrots, vacances... pour dégager l’uniformité et la pauvreté de nos vies. Des images d'actualité, pour les détourner et démontrer qu'on nous prend pour des cons.... Toute image détournable pour illustrer le propos.</span><br /><span style="font-size:85%;">- Sous-titres : extraits de "la société du spectacle" de Guy Debord</span><br /><span style="font-size:85%;">- Voix off : Ecrits, poèmes, propos, réflexions d'individus critiques et rebelles des temps modernes.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">4) Idées centrales du film</span><br /><span style="font-size:85%;">- Antinomie entre l'ordre actuel des sociétés capitalistes et la nature des choses et de l’humain.</span><br /><span style="font-size:85%;">- L'immensité de la pauvreté et de la misère de nos vies.</span><br /><span style="font-size:85%;">- Montrer qu’une autre réalité est possible. Nous pouvons supprimer toutes les entraves au développement humain. Toute entrave à la poésie, à la liberté d'aimer, de créer, d'apprendre, comme aujourd'hui les frontières, l'argent, les papiers, le travail, la bureaucratie, la propriété, la justice, la police, et tout ce que nos sociétés on créés sont des entraves permanentes à tout développement humain. Tout est à réinventer pour se réapproprier la vie, et ce n’est pas une utopie, mais le désir profond de tous ceux qui se sont insurgés contre l’ordre établi.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">5) Quelques remarques</span><br /><span style="font-size:85%;">- Le montage sera déterminant dans ce travail. </span><br /><span style="font-size:85%;">- L’enregistrement des images se fera sur disque. Voir comment le faire.</span><br /><span style="font-size:85%;">- Commencer par la selection des dires de la voix off, et des textes en sous titres.</span><br /></div><span style="font-size:85%;"><br /></span><span style="font-size:85%;"><br /></span> <div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------</span></span></span></div><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;">Nabil DJEDOUANI</span><br /><span style="font-style: italic;font-size:85%;" >Nabil est étudiant en cinéma à Lyon, il a déjà participé aux rencontres en tant que stagiaire dans le cadre d’un programme d’échange entre Béjaia et Saint Etienne.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">ROCK DIELNA</span><br /><span style="font-size:85%;">(Notre Rock)</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Synopsis</span><br /><span style="font-size:85%;">Alger, 3 février 2007, les pages « Culture » du quotidien El Watan, annoncent le décès d’Omar Amroune, batteur du mythique groupe de rock des années 1980, T34.</span><br /><span style="font-size:85%;">L’annonce met en émois toute la scène culturelle algérienne. Tout le monde se souvient de ce clip où il incarnait Boualem El Far, tube de l’année 1984. Formé à la fin des années 70 par Khaled Louma, Mourad Rahali, Omar Amroune et les frères Boukella, T34 allait incarner la révolte de la jeunesse algérienne sous l’ère Chadli, inventait le rock algérien. Mesures cassées, la derbouka est punk et la strato hurle comme une mandole surchauffé.</span><br /><span style="font-size:85%;">Apparus aux termes de la colonisation le rock en Algérie demeurera jusqu’aux années 1980 un courant musicale mineure, le raï et le chaâbi demeure les styles musicaux les plus prisés. C’est notamment grâce aux émissions de Aziz Smati, sur Alger Chaîne 3 qu’émergea cette scène, miroir des aspirations d‘une jeunesse qui déboucheront sur les émeutes d’ Octobre 1988. </span><br /><span style="font-size:85%;">Hommage aux précurseurs du rock en Algérie, le film fait aussi le constat de la situation actuelle. Malgré sa marginalité le rock reflète les bouleversements sociopolitiques de l’Algérie. Du yéyé de Mazouni aux death metal de Litham, , entre dérision et engagement, le rock ce fait caisse de résonance de l’évolution d’un pays en perpétuel transformation. </span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Note d’intention</span><br /><span style="font-size:85%;">S’il y a bien un univers, en Algérie, qui se caractérise, autant et paradoxalement, par la richesse de sa vie, sa vitalité, et son peu de visibilité, c’est bien celui de la création artistique. La violence de la décennie passée a certes beaucoup ralentie l’émergence publique, au grand jour, de diverses formes d’expressions artistiques. Des artistes ont été fauchés à la vie. D’autres ont pris le chemin de l’exil, notamment en France où ils ont, d’ailleurs et parfois même avec brio, développé leur talent, ajoutant leurs touches à la mosaïque culturelle hexagonale.</span><br /><span style="font-size:85%;">L'Algérie est tout autant un pays neuf qu'un creuset où se sont superposés, se sont rencontrés à travers l'histoire (et continuent de le faire), déversés, métissés, de multiples courants musicaux provenant d'Afrique, d'Orient et d'Europe. Il est possible que cela découle de sa position privilégiée au sud du bassin méditerranéen, de la rencontre des cultures locales avec la colonisation à une période donnée, du fait que la musique, par excellence, n'a pas de frontières. Toujours est-il que, sans hiérarchie aucune, cette diversité ne semble pas avoir d'équivalent dans le reste du monde arabe - où l'on a coutume et obligation officielle de classer l'Algérie. La diversité ne se donne pas à voir seulement dans la multitude des genres existants, mais également et surtout dans le foisonnement des rythmes, mélodies et instrumentations qu'on peut y trouver.</span><br /><span style="font-size:85%;">Aborder le rock algérien c’est rompre avec les représentations usuelles d’une Algérie austère au progrès, à la modernité, c’est réagir au conformisme actuel dans lequel s’enfonce la culture algérienne, c’est revenir sur une période d’exaltation récente mais oubliée, recouverte des décombres de la violence s’étant abattue sur ce pays durant une quinzaine d’années.</span><br /><span style="font-size:85%;">Ce genre musical, resté jusque là subversif, engagé, politique, contrairement au Raï, traduit dès son apparition en Algérie les transformations culturelles qui animent la sphère musicale et expriment les mouvements sociaux qui la portent ou la transcendent.</span><br /><span style="font-size:85%;">C’est de cette histoire, de cette vie dont il sera question dans ce film documentaire qui déclinera cette expression sociale qu’est le rock à travers trois repères chronologique essentiels : les précurseurs de 1954 à 1980, l’âge d’or de 1980 à 1994, la scène actuelles de 1994 à nos jours…</span><br /><span style="font-size:85%;">Par des portraits d’artistes tel que Khaled Louma leader de T34, Lotfi Attar de Raïna Raï, Cheikh Sidi Bemol, Moh KG2, de groupes tel que les Abranis, Litham, se combineront analyses et reconstitutions historique en donnant le plus souvent la parole aux acteurs et en entrecroisant constamment témoignages et images d’archives hétéroclites : scopitones, clips, captations, fictions .Aziz Smati, animateur de la première émission ayant diffusé du rock algérien sur les ondes d’une radio nationale au début des années 80, avec humour et en arabe dialectal sera le narrateur de cette aventure rock. </span><br /><span style="font-size:85%;">Histoire de l’émergence des mouvements de modernisation au plan musical mais aussi celle des périphéries sociales et culturelles, cette investigation tient à retracer la longue litanie des chansons et musiques échos souvent oubliés de l’irruption de cette mutation socio-musicale qui constituera, dès la seconde moitié des années 70, un des espaces de référence essentiel pour la majeure partie des jeunes Algériens, expression qui représentera une véritable rupture avec les litanies rassurantes et ronronnantes qui monopolisent les médias algériens, tous aux mains du pouvoir à la fin des années 70, quand émerge ce nouveau son, celui des guitares électriques et synthétiseurs.</span><br /><span style="font-size:85%;">Histoire également de ce puissant élan de créativité d’une jeunesse longtemps marginalisée, aux mots toujours trop crus parce que trop vrais.</span><br /><span style="font-size:85%;">Raconter le rock algérien d’hier et d’aujourd’hui, c’est proposer une explication de ce qui se joue culturellement et socialement en Algérie à travers les termes, visions et positions des nombreux exclus du système politique que sont les jeunes de ce pays. C’est comprendre comment, avec ses mots et ses sons, une jeunesse décline ses envies et ses angoisses.<br /><br /></span><div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------<br /><br /></span></span></span></div><div style="text-align: justify;"><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;">Meriem Bouakaz</span><br /><span style="font-style: italic;font-size:85%;" >Est vétérinaire de formation, aujourd’hui elle participe au ciné-club de Constantine. Elle est déléguée médiacle.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Les Harraga</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">La manière dont est traité ce sujet par les médias étrangers et sa banalisation m’ont profondément choquée. Le sujet se résumait à des chiffres et quelques images avec, en toile de fond, la peur des européens d’être envahis par cette vague humaine venant du sud. Lampedusa, Gibraltar ou les Canaries nous sont devenus des noms familiers mais les drames qui se jouent en haute mer sont à peine effleurés, ou alors carrément ignorés, le plus important étant que cette vague n’atteigne pas les côtes européennes.</span><br /><span style="font-size:85%;">Vient ensuite le cas concret d’un jeune, dont l’histoire m’a été racontée par sa sœur, survivant d’une « harga » qui a mal tourné et dans laquelle ont péri plusieurs de ses compagnons de ce voyage inachevé. </span><br /><span style="font-size:85%;">Le sujet s’est en réalité imposé de lui même à moi et j’ai commencé alors à m’intéresser à ce que rapportait la presse écrite et notamment les témoignages de harraga. </span><br /><span style="font-size:85%;">Premier constat : il n’y a pas de profil type du harrag, il peut être un homme ou une femme, un chômeur, une étudiante ou un médecin et cette diversité m’interroge sur leur point commun, ce désir fou de partir chercher sa vie ailleurs que dans son propre pays. Impossible de rester insensible devant tant de détresse, de réprimer mes propres questionnements. Pourquoi veulent-ils tous partir coûte que coûte, acceptant tous les risques, bravant des dangers qu’ils savent terribles ? Qu’est ce qui les pousse à fuir leur pays ? Pourquoi sont-ils toujours plus nombreux à choisir cette voie ? Qu’est ce qu’ils cherchent ? Qu’espèrent-ils trouver ? Quel est donc ce rêve pour lequel ils sont prêts à mourir ?</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Pourquoi ce film ?</span><br /><span style="font-size:85%;">Il répond à ce qui est peu à peu devenu pour moi une nécessité : poser un regard personnel, le mien, sur notre société. Par réaction à l’image que nous reflète l’occident, par réaction aussi à celle, négative, dévalorisante, détestable, que nous nous faisons de nous-mêmes, après tous les échecs, qui ont jalonné notre marche forcée vers la désillusion. </span><br /><span style="font-size:85%;">Il se veut aussi une exploration de ma propre souffrance de candidate au départ. </span><br /><span style="font-size:85%;"> </span><br /><span style="font-size:85%;">Les personnages</span><br /><span style="font-size:85%;">Un jeune rescapé : démuni et qui depuis le mariage d’un frère n’a plus d’espace a la maison.</span><br /><span style="font-size:85%;">Une association de parents de disparus qui a été crée à Annaba.</span><br /><span style="font-size:85%;">Une harraga arrivée a bon port, médecin, elle se trouve en Espagne actuellement.<br /><br /></span><div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------<br /></span></span></span><br /><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);"></span></span>Chérif Messaouden</span><br /><span style="font-style: italic;font-size:85%;" >Chérif est Directeur du centre culturel de Bouzegane un village de Tizi-Ouzou, ils a participé à tous les stages des Rencontres Cinématographiques de Bejaia.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Arrac negh (Nos enfants) titre provisoire</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">L'idée du film.</span><br /><span style="font-size:85%;">Lors du boycott scolaire qui avait été lancé par le mouvement culturel berbère (MCB) pour la reconnaissance officielle de la langue tamazight et son introduction dans l'enseignement de l'école à l'université , j'ai participé à plusieurs manifestations pendant cette période de "dissidence scolaire" de l'année 1994/1995 . Beaucoup d'encre a coulé .C'est pour mieux comprendre cette épopée à inscrire à l'actif du long combat à l'amazighité que j'ai décidé de porter un regard critique de la réalité vécue de cette période avec toute la liberté et tout le recul nécessaire à travers l'image .</span><br /><span style="font-size:85%;"> </span><br /><span style="font-size:85%;">Pourquoi ce film.</span><br /><span style="font-size:85%;">Plus d'1 millions d’élèves, tous paliers confondus et d'étudiants étaient alors entrés en "dissidence scolaire". Un immense sacrifice qui leur coûtera la perte d'une année scolaire. De mémoire d’algérien, jamais une action de revendication aussi extrême bien que pacifique n'a été mené depuis l'indépendance. Il est vrai qu'au plus fort de la guerre d’indépendance, des étudiants algériens s'étaient distingués par une action aussi spectaculaire en désertant les bancs des universités et lycées pour rejoindre les rangs de la révolution.</span><br /><span style="font-size:85%;">Le MCB qui avait lancé le fameux appel au boycott scolaire sous le slogan " Ulac Lacul ma Ulac Tamazight" a- t-il associe à ce mot d'ordre touts les parties concernées ainsi que l'élite Kabyle ? Pourquoi une décision aussi radicale ? Qu’elles sont les motivations et les conditions dans les quelles avaient été prise cette décision? a-t-il mesure les conséquences de cette action?n'a-t-il pas surestimé ces capacités d'influer sur les événements?comment un mouvement populaire , pacifique reconnu comme repère fondamental du combat démocratique de l'Algérie indépendante s'est laissé affliger un sacrifice immense et douloureux même au élèves? Un mouvement prometteur, qui depuis les évènements d'Avril 1980 (printemps berbère) n'a cessé de semer la liberté à tout les segments de la société (la liberté d'expression , le combat des femmes , la défense des droits de l'homme...</span><br /><span style="font-size:85%;"> </span><br /><span style="font-size:85%;">Les personnages.</span><br /><span style="font-size:85%;">Mokdad Sifi , 1er ministre à l'époque du boycott scolaire</span><br /><span style="font-size:85%;">Ahmed Ouyahia , négociateur , coté pouvoir , des accords du 22 avril 1995.</span><br /><span style="font-size:85%;">Djamel Zenati , porte parole des commissions nationales du MCB</span><br /><span style="font-size:85%;">Ali Brahimi , membre " " </span><br /><span style="font-size:85%;">Said Boukhari , " " "</span><br /><span style="font-size:85%;">El hadi Ould Ali , président de la coordination nationale du MCB</span><br /><span style="font-size:85%;">Mohand Ikherbane , membre " "</span><br /><span style="font-size:85%;">Hafid, élève au lycèe lors du boycott scolaire</span><br /><span style="font-size:85%;">Salhi , sociologue</span><br /><span style="font-size:85%;">Ali Mokrani, président de l'association des parents d'élèves de la wilaya de Tizi-Ouzou</span><br /><span style="font-size:85%;"> </span><br /><span style="font-size:85%;">Lieu de tournage.</span><br /><span style="font-size:85%;">En Kabylie.</span><br /><span style="font-size:85%;"> </span><br /><span style="font-size:85%;">Traitement de sujet.</span><br /><span style="font-size:85%;">A travers l’image, je vais aller chercher des réponses chez les protagonistes que ce soit du coté de pouvoir ou du mouvement afin de mettre la lumière sur un événement inédit dans l'Algérie indépendante. Avec ma caméra j'essayerai d'apporter un autre regard sur les conséquences de la dite action notamment sur les répercussions d'une désertion de plus d'une année des bancs de l'école et de l'université sur leur scolarité, leur psychologie, leur vie tout court (délinquance etc..), ainsi que sur les raisons du début de la fin d'un mouvement prometteur.</span><br /><span style="font-size:85%;">J'utiliserai également des images d'archives et des journaux qui ont couvert cette période.<br /><br /></span><span style="font-size:85%;"><br /></span> <div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);">-------------------------------------------------------</span></span></span></div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size:85%;"><br />Youcef Benheni<br /><br /></span><span style="font-size:85%;">L’idée du film </span><br /><span style="font-size:85%;">Depuis longtemps et bien des jours que dieu fait, un tableau de peinture de l’artiste peintre Ghedjati me taraude l’esprit surtout par l’entêtement de refus catégorique de l’artiste à entendre parler de la vente de sa création artistique malgré les offres alléchantes qu’il avait reçus dans son atelier ou lors dés expositions dans des établissements publics notamment dans sa ville quelle a vu naître et demeurant dans un quartier populaire de Sétif situé à l’Est de l’Algérie.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Pourquoi ce Film </span><br /><span style="font-size:85%;">Mon sujet de film sur le portrait de cet artiste également enseignant de dessin dans un CEM vivait dans des conditions pauvre et malheureuses.</span><br /><span style="font-size:85%;">L’intérêt de ce projet cinématographique est de comprendre la passion de Ghedjati pour cet art.</span><br /><span style="font-size:85%;">Comment vit-il cet passion ?.</span><br /><span style="font-size:85%;">Les difficultés de la vie ont une influence sur sa peinture ? Pourquoi tout ce mystère sur ce tableau si particulier ? Cerner ce fameux tableau, ainsi que cette spontanéité de peindre facilement toute émotions ? Ce tableau exprime t-il un repli sur soi ? une enfance tourmentée ?</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Personnages du film</span><br /><span style="font-size:85%;">Mustapha Ghedjati né en1953 à Sétif. Il est Professeur d’éducation artistique de 1980 à 1992, Inspecteur d’éducation artistique depuis 1993. Il est autodidacte.</span><br /><span style="font-size:85%;">Les amis du quartier, ses collègues au CEM.</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Lieu du tournage</span><br /><span style="font-size:85%;">- Son atelier (galerie d’exposition).</span><br /><span style="font-size:85%;">- Lieu du travail</span><br /><span style="font-size:85%;">- La ville de Sétif (quartier de résidence).</span><br /><br /><span style="font-size:85%;">Traitement du film </span><br /><span style="font-size:85%;">Je compte faire cinq jours de tournage et à travers l’image, je veux extérioriser les sentiments de Ghedjati par le biais de son tableau inédit et la relation intense et intime qui existe, et les souvenirs de son enfance à ce jour.</span><br /><span style="font-size:85%;">Ce film est une occasion de ressortir ce bohème de la peinture de l’ombre et mettre la lumière sur un artiste autodidacte marginal.</span><br /><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);"><br /><br /></span></span></span></div></div></div></div></div></div></div><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"><span style="color: rgb(102, 0, 0);"></span></span></span></div></div><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"></span></span></div><span style="font-size:85%;"><span style="font-family:georgia;"></span></span></div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-2530891433989984155.post-59528045451865413262008-01-30T21:08:00.001+01:002008-12-11T11:20:23.490+01:00Programme<div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family: georgia;">Les rencontres du film documentaire </span></span><br /></div><div style="text-align: center;"><span style="font-size:85%;"><span style="font-family: georgia;">du 2 novembre au 6 novembre 2007 à Béjaia<br /><br /></span></span></div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjP4R_4dpISiYwf5y4xCVWen1m1UtoJvf9BuixaUkgZB1d1V-fPVD0JH5H-jOLleToi73dV04m9ABBbkSWForZ6dL-sYSZr1LXFuaz6Vk70px7GIM9rbEhKiQ7uaFFIFc8x7g__DpGU_XA/s1600-h/DEPLIANT+DU+PROGRAMME2.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjP4R_4dpISiYwf5y4xCVWen1m1UtoJvf9BuixaUkgZB1d1V-fPVD0JH5H-jOLleToi73dV04m9ABBbkSWForZ6dL-sYSZr1LXFuaz6Vk70px7GIM9rbEhKiQ7uaFFIFc8x7g__DpGU_XA/s400/DEPLIANT+DU+PROGRAMME2.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5161364448228222930" border="0" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiI6kPc9PKbQ85B5WKMWooG9OOORqM0vftXgM9t6VWxHYyg7j4kDYVEe0ZR5yR5o3HWAkMNtQylofGxJiJueNoAC0uA8dBWTktexIxYcl8iv0kwoDDAiv38CnTK5gw5jcuiYqD0ol7j7OFi/s1600-h/DEPLIANT+DU+PROGRAMME1.jpg"><img style="margin: 0px auto 10px; display: block; text-align: center; cursor: pointer;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiI6kPc9PKbQ85B5WKMWooG9OOORqM0vftXgM9t6VWxHYyg7j4kDYVEe0ZR5yR5o3HWAkMNtQylofGxJiJueNoAC0uA8dBWTktexIxYcl8iv0kwoDDAiv38CnTK5gw5jcuiYqD0ol7j7OFi/s400/DEPLIANT+DU+PROGRAMME1.jpg" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5161364212005021634" border="0" /></a>Unknownnoreply@blogger.com0